Quand Gainsbarre se bourre, Gainsbourg se barre...
Cet homme à définitivement changer ma vie. Tout bascula, si je j'ose dire, le 17 janvier 2010. Ce soir là, je fesais la découverte de ma vie : Serge Gainsbourg. En écoutant pour la première fois ses chansons je me suis retrouvée sans voix. Tout était beau chez lui, tout. J'étais faciné par ce personnage si particulier, avec ses mimiques, ce voile de fumée qui le rendait mystérieux. Et cette sensualité qui se dégager de lui, ce charme fou. Il est devenue alors mon secret le plus précieux, comme quelque chose qui n'appartenait qu'à moi, une passion qui me dévorait, que je voulais exhiber mais protégé. Je n'écoutais plus que lui, je parlais de lui sans arrêt à mes amies comme si je le voyais tout les jours racontant au jour le jour se que j'avais appris sur lui la veille. C'était le premier artiste à me donner des frissons, me faire venir cet étrange sensation dans le ventre, quelques choses de terriblement bon et qui fait si mal. Jamais je n'est été aussi bien qu'avec sa voix que j'accompagnais partout. Serge à était, mon premièr amour musical, grâce à lui j'ai ainsi connu une multitudes d'autre artiste, et une autre époque, des années 50 à sa mort en 1991. J'ai réaliser que les années 60 et 70 sont vraiment les meilleures. Très vite je me suis acheter une biographie, et Ô désespoir, certaines choses m'avait déçue. Je n'éprouvait plus la même chose à l'écoute de ses chansons, je pensais avoir perdue ce que j'aimais le plus. Pourtant à la fin de ce foutue bouquin j'en ai versé des larmes quand on apprend que Gainsbourg ( c'est pas comme si j'était déjà au courrant ). Mais je me suis réfugié dans la voix fragile de la belle Jane pour qui j'ai dévellopé également une admiration sans limites, elle m'a redonner goût à S.G et ses mélodies, ouf' ! C'est comme sa que j'ai continuer pendant plus d'un an a n'écouter que lui, puis les 20 ans de sa mort on sonné, tout le monde était là, à le célébrer. J'était ravit. Entre temps, deux autre biographie ce sont succèder mais la meilleur à ce jour concernant l'homme à la tête de choux reste celle de Gilles Verlant. La bible de la vie de mon idole. Je les est savouré les 700 pages qui lui sont destiné, lettre par lettre, mot par mot. J'ai découvert une autre facette de cette homme, plus simple, plus belle encore, plus touchante. Mais je n'aie eu des CD de lui que tard que pour mon anniversaire le 10 décembre 2010 quasiment 1 an après ma découverte. Sur ma lancée je me suis procuré "L'histoire de Mélody Nelson" et ""L'homme à la tête de choux". Aujourd'hui, je ne l'écoute plus si souvent, voir beaucoup moins, je pense avoir fais une overdose de Gainsbourg, mais il gravé en moi comme personne. Et je lui dois tant de choses, tout se que je suis aujourd'hui c'est grâce ( à cause ? ) à lui. Je lui dois cette ouverture sur le monde, sur la musique en particulier, sur le cinéma, sur d'autre temps, sur la mode, et je le remercie de m'avoir révélé à moi même, je le remercie d'incarner ce qu'un homme représente pour moi. Je serais pour toujours un dandy contrarié par sa faute. Je regrette de ne pas avoir était là pendant ses concert en 1988, allumer mon briquet sur "La Javanaise", d'avoir tagué le mur de sa maison, de ne pas l'avoir croisé au coin d'une rue. En attendant de le retrouver dans un autre monde, je sais qu'il est là, partout où je vais. De toute façon, Dieu est un fumeur de Gitanes, " je vois ces nuages gris, je sais qu'il fume même la nuit" .
Et jamais je ne voudrais qu'on l'oublie, ni pour son oeuvre, ni pour ses frasques. Parce que je les aiment trop. ♥
Clémence.Isabelle